L’aigle, dont le vol majestueux surplombe le monde, nous invite à ne pas rester le nez dans nos problèmes, car c’est seulement en les envisageant autrement, de façon plus panoramique et distancés, que nous pourrons correctement juger de leur étendue : souvent, nos soucis, vus d’une perspective plus élevée, sont bien plus insignifiants et moins inquiétants que ce que nous pouvions croire.